Première rencontre [Libre]

L'air soufflant dans mes cheveux. L'herbe si verte. De petits nuages traversant un ciel si bleu. Combien de temps cela faisait-il que je n'avais contemplé cela en vrai ? Combien de temps se faisait-il que je n'étais pas sortie ? Je crois que c'est depuis qu'ils sont tous partis. Ces imbéciles. Bon, commençons par le début, sinon vous n'allez rien comprendre.

Donc, après d'interminables discussions, et une longue route pour venir jusqu'ici, j'étais enfin acceptée ici. Dans cette école pour le moins spéciale...

"Où y a-t-il le moins de monde possible ? ..."

Ce fut ça la première question que je me suis posée. Où pouvais-je bien allez pour rester le moins possible en contact avec les personnes. Où est-ce que je pourrais ne pas êtres sur la défensive ? Où est-ce que cette paix existe ? Je n'en avais pas la moindre idée. Les espaces de dehors furent ceux que j'ai visités en dernier. Ben oui, c'est normal d'aimer être dehors. Mais, rester enfermer ne me plaisait pas vraiment. C'est pourquoi que j'ai visité sans aucune réelle curiosité le pavillon de la Lune.

Le pavillon de la Lune, là où étaient réunis tous les vampires. Il y avait aussi le pavillon du Soleil, pour les humains, et le pavillon des Étoiles pour les hunters. Nos ennemis naturels. Des ennemis pour qui je ne vouais aucune peur. Ils m'indifféraient. Ils m'ennuyaient...

Je continuais à marcher comme ça, jusqu'à ce que je me retrouve dehors. Marchant droit devant, je dépassais la cours, où il n'y avait que du béton pour m'enfoncer dans le gazon. Ai-je précisé que c'était la nuit ? C'est logique, non ? Peut-être pas pour certains. Continuant à marcher, je levais les yeux vers le ciel. Et ces milliards d'étoiles qui maquillaient le ciel de tant de lumières. C'est beau. Mais, y a-t-il quelque chose de merveilleux là-dedans ? Non, pas du tout. Et si elles viennent se plaindre, et bien, on ne les a pas obligé à être dans notre ciel. Voilà. Et si vous venez vous plaindre et bien, considérez que vos propos m'inféreront autant que votre existence.

Je baissais les yeux. J'étais dans l'herbe, entourais de fleurs, et de quelques arbres. Dans ce beau cadre où personne n'étais aux alentours, je me détendis et allai même jusqu'à m'allonger dans l'herbe bien coupée. Laissant cette défense que j'ai créée s'effriter. Se détendre, plus tard, je me dirais que c'est l'une des choses que je devrais éviter...

Une fille était là. Elle était arivé, alors que mon mur s'effrité. Ces brèche commencé déjà à inspiré ses tourment. Je m'étais alors redressé d'un coup me mettant sur la défensive. Je n'avais pas besoin d'une glace pour savoir que la partie supposé être blanche de mes yeux étaient devenus un peu plus rouge. Tout comme je savais que cette fille n'était certainement pas une simple humaine. L'instinct je dirais. Elle me dit une de ces banalité que l'on trouve dans tout les film. « Belle soirée, n'est-ce pas ? » Je ne pris même pas la peine de répondre. De toute façon, ça n'en valait pa la peine. Pas le moins du monde. Puis elle se présenta. Himeji s'appellait-elle. Elle ajouta même un enchanté. Elle pouvait être enchanté de faire ma connaissance, pas moi. En fait, pour dire la vérité, je déteste être en présence de personne.

-Aira répondi-je simplement.

Pas de plus, pas de moins. Qu'aurais-je put dire de plus ? Rien. Rien du tout.

« Que fait une élève de la Night Class hors de sa Classe ou de son Dortoir ? »

Elle savait que je suis un vampire et je sait qu'elle en est un. Elle sait donc que je suis dans la Night Classe et que normalement j'ai cours. Le dernier point, je ne le savais pas. Sûrement un moment d'inantention de ma part. Faut dire que c'est tellement ennuyeux tout ce baratin sur comment bien se comporter avec les humain. Mais aussi ces caché pour le sang. Inutile. C'est nul ça. Bon, je n'en ai pas encore pris, mais je suis certaine que ces dégoutant. Parce que mélanger du sang avec de l'eau ou quelque chose comme ça... Ca ne m'a pas vraiment l'air si bon.

-Elle prend l'air...

Je ne pris même pas la peine de lui retourner la question. Prendre un air ennuyait. Être ennuyais par la présence de quelqu'un. L'ennuie, un ami. Que dire d'autre sur l'ennuie qui m'anime à chaque fois qu'une personne vient me voir. Qu'elle n'est là que parce que je ne veut pas aspirer les émotions. Même minime. Enfin bon. On va le définir plus comme un mécanisme de défense que j'aurais adapté.

C'est quoi cette air sur son visage ? Elle prépare un coup, ça j'en suis certaine. Qu'est-ce qu'elle me voulait encore ? Et bien, je crois bien que j'en eu la réponse dans les seconde qui suivirent. Elle commença à me pousser. Personne ne m'avait poussé comme ça depuis lontemps. Donc... ça s'appelle de la surprise ce que je ressent. Donc les conséquense de la surprise, manque de réaction. C'est cela ? Je pense, parce que c'est ce qui m'arrivé. Je me laissais poussais, même après que la surprise ne soit passé. Elle voulait m'emmené quelque part. Laissons la m'emmener. Tout en me poussant elle me bombarder de question. Je réussis à en mémorisé deux pour lui répondre. La prémière et la dernière.

-Tu fais quoi dans la vie ? [...] Pourquoi tu es venue à l'Académie ?

Faut bien répondre. Mais... Allez répondons, c'est la moindre des choses.

-Je ne fais rien dans la vie, et... Petit moment de réflexion.Je ne sais pas pourquoi j'y suis venu.

Vrai et encore vrai. A part si s'inventer d'autres vie et ce qu'on peut appeller une occupation régulière. Ou alors que avoir marre d'être seul, ouloir changer d'air, mais ne pas vouloir être trop entouré est une autres réponse. On était arrivé à la fontaine, et entre temps, j'avais laissé une fois de plus mon mur s'effritté. Je ressanté sa préoccupation. J'étais alors préoccupé. Elle souffla, puis m'adressa un sourire.

-Tu devrais faire attention à ne pas te faire prendre Aira, après ils vont te faire la morale et il suffit qu'il arrive quelque chose à un autre élève pour que tu sois suspecte...

J'en ai que faire qu'on me fasse la morale. J'ai déjà une morale qui m'est propre, alors qu'on essaie pas de m'en inculquer une autres, et si la nuit c'est pour rester enfermé dans les bâtiments, je préfère encore partir. Et qu'ils me suspecte, cette situation serait passionnante. J'hocha la tête avec un air ennuyé, un peu comme si je m'en fouté pas mal de ce qui pourrait arrivé. Ce qui est vrai, car franchement, ce que ça pouvait être ennuyeux. A mon tour de souffler.

Je l'entendit murmurer "Je suis certaine que le sourire te va bien mieux qu'un visage sans expression... " Je n'essayais même pas de sourire, sa remarque était juste de trop dans cette discussion. Mais... Malheureusement ce que j'avais inspiré d'elle, même si peu, agissait sur moi. Du coup, je m'inquiétais de ce qui l'inquiétais. Je ne sais pas, ce qui se passa alors, mais je m'entendis parler.

-Qu'est-ce qui t'inquiète ?

Mais tout de suite après j'ajoutais un peu précipitament, mais avec cette air continuelle ennuyait :

-Mais si tu veux pas, tu n'as pas à me le dire.

Bon, je sais tout ce qui est contact humains m'échappe, et que je devrais lui renvoyer son inquiétude qui a pris possession de moi. Mais... je ne sais pas. Quand j'essayais je n'y arrivais pas. C'est à cause du "mur". Distance est le meilleure mot au monde. Longue inspiration et une autre longue expiration. Froncement de sourcil. Concentration maximal. Cible définit. Rejet du sentiment. 1 seconde... 2 secondes... 5 secondes... 10 secondes... Rejet effectué. Voilà ! Enfin libéré de ça ! C'est beaucoup mieux qu'avec ça. Mais... J'espère que je n'en ai pa rajouter. Au pire je m'enfous.